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capharna​ü​m

by Freddo Blaster

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1.
Bienvenue 05:31
BIENVENUE Bienvenue à la ferme intention, des fois ici ça rigole pas On met nos idées en action et c’est ensemble qu’on franchis l’pas Car on peut vivre autrement, que rien n’est écrit pour de bon Et même si la planète tremble, rien n’arrête la végétation Chasser le naturel, il revient au galop Permaculture en éveil, nos graines auront le dernier mot Boycottons les industrielles, boycottons Mosanto Pour que demain on est plus besoin, de préciser qu’c’est bio Bienvenue sur l’Bel Espoir, et son équipage incongru Avec l’énergie et la foi de vivre de l’inattendu Balayer le passé, se laissé enrôler Car au milieu de l’océan tu ne pourras plus te cacher Salut à toi le zonar, salut à toi l’ancien taulard Salut à toi le drogué, salut à toi qui veut s’sevrer À chacun son fardeau, ici tu peux pas tricher On est tous dans l’même bateau et c’est ensemble qu’il faut hisser réf Bienvenue, dans le monde où je vis Où des gens s’bougent le cul, à mettre en oeuvre leur utopie Finis le temps des grèves, si tu veux vraiment tout changer Pour réaliser tes rêves, il faut déjà se réveiller Bienvenue dans nos camtars, autonome et démerdard Une vie de vagabond, toutes nos richesses dans nos camions À vivre au gré des saisons, à admirer les paysages Sans chercher de bonne raison , à partir demain en voyage Mais bon avec ces vieux bourriés, ça tombe un peu souvent en panne Ey j’te parle même pas des papiers, et le clébard qui s’fait la malle Mais peu importe le départ, peu importe l’arrivée C’est finalement dans l’errance, que not’chemin est tout tracé Bienvenue au squatt de l’Anarserie, viens donc boire une petite bière Ici ça n’a pas de prix et tout se passe à l’intérieur N’empêche ramène de la bibine, des fois qu’la pénurie nous guette On est peut-être les rois de la récup, mais y’a jamais assez d’canette Quand aux visites impromptues, faut toujours faire attention À ces petits trous du cul, dans l’exercice de leurs fonctions Qui nous traîtent comme des chiens, nous foutent dehors à coup d’latte Mais comme on est des lâche-riens, demain on réouvrira un squatt réf Bienvenue chez les zadistes, peu importe le projet Résistants néoludistes, la nature passe en premier Réapproprions-nous nos terrains, mais également nos vies Vaut mieux une zone de non-droit, que du béton pourri Bienvenue chez les No-borders, bienvenue chez les Sea-sheperds Bienvenue chez les Gilets Jaunes et bienvenue chez les Faucheurs Une bande de lâche-rien, au milieu des requins Mais c’est seulement dans l’action, que l’on peut changer le destin Bienvenue dans ma tête, ha ici c’est bien la fête Même si je dois l’avouer, y’a quand même quelques prises de bec Entre celui qui veut tout voir, celui qui broie du noir Celui qui garde espoir, que demain n’est pas un cauchemar Celui qui veut vivre autrement, celui qui veut des enfants Celui qui sait prendre les devants, ou bien qui est toujours méfiant Celui qui peine à s’décider, celui qui fonce tête baissée Comme tu peux le constater, dans ma tête c’est un beau merdier réf (x4) parole et musique : FredDo
2.
J'aime 02:39
J’AIME J’aime les fous, les cinglés, tous les gens bien allumés J’aime la terre, la sacrée celle sans qui on s’rait pas nés J’aime le mot révolution, tous ce qui nous prend au tripe J’aime les cons car j’en suit comme la plupart des gens ici J’aime la vie j’aime la mort et peu importe c’qui suit J’aime la rue, sa folie, son énergie de connerie J’aime c’qui pue, j’aime le cul le sexe et les orgies J’aime la fête quand ça pète, fait péter l’ampli !! J’aime les feignants, les crasseux, les drogués les alcooliques J’aime les pédés j’aime les femmes, les jeunes les vieux les parasites J’aime les artistes les taulards, les gouines les apprentis J’aime les noirs les piétons, les arabes les travestis J’aime les humains les chevelus, les abstentionnistes convaincus J’aime tous ceux qui comptent pas, pour les politiciens corrompus J’aime Coluche, son esprit, c’qui la laissé derrière lui J’aime le pavé dans la gueule, d’un crs qui fuit J’aime la rage, le courage, ceux qu’on pas peur des ennuis J’aime le noir le brouillard, l’obscurité et la nuit J’aime le rire des enfants, leurs bêtises leurs délires J’aime les personnes excentriques, et orange mécanique J’aime la musique en pagaille sur des mélodies qui déraillent La chaleur des concerts sur des rythmes de l’enfer J’aime les mots, les gros mots, ceux qui calment ton égo J’aime les rimes, les poèmes, ceux qui réparent les maux J’aime l’alcool, le tabac la coke et le café Et oui j’avoue j’aime ça, même si ça peut me tuer Comme j’aime prendre la route en sachant qu’je peux la quitter Comme j’aime faire l’amour, sans me protéger J’aime le bruit d’une rangeo, dans la gueule d’un facho J’aime le son du clairon, une fois bien rentré dans ton fion J’aime bien voir des matadors avec leurs tripes dehors J’aime la rue qui s’acharne, sur une voiture de flics qui crame J’aime les fous, les cinglés, tous les gens bien allumés J’aime la terre, la sacrée celle sans qui on s’rait pas nés J’aime le mot révolution, tous ce qui nous prend au tripe J’aime les cons car j’en suit comme la plupart des gens ici J’aime la vie j’aime la mort et peu importe c’qui suit J’aime la rue, sa folie, son énergie de connerie *J’aime c’qui pue, j’aime le cul le sexe et les orgies J’aime la fête quand ça pète, fait péter l’ampli !! bis *Et oui j’avoue j’aime ça même si ça te plait pas Tu peut toujours me pourrir, tu ne m’empêcheras pas de rire
3.
Alzheimer 02:19
ALZHEIMER J’ai beau tout oublié, j’ai plus rien à m’soucier J’perds tout l’temps mes affaires, depuis qu’j’ai Alzheimer Je perds mes souvenirs mais je garde le sourire Même si c’est un peu gênant quand je sors sans mes vêtements Car j’ai beau tout oublié, mais pas mon p’tit filleul Qu’est venu m’voir par la fenêtre du 7 éme étage d’la maison d’retraite La famille s’est bien foutue d’ma gueule quand j’leur ai parlé d’ta visite Maintenant j’aimerai bien voir la leur quand ils sauront qu’t’es laveur de vitre Car j’ai beau tout oublié, j’suis pas complètement taré Des fois je sais c’que j’dis des fois je sais c’que j’ fait Même si c’est pas facile quand des fois j’vais m’promener Que les gendarmes bouclent la ville pour pouvoir me r’trouver Car j’ai beau tout oublié, ben je sais ce que j’ai Pas besoin de rire derrière moi, je sais très bien pourquoi Ok j’perds souvent mon dentier, et j’passe mon temps à chercher l’courrier Pas drôle non plus de radoter et d’passer son temps à chercher l’courrier J’ai beau tout oublié, j’ai plus rien à m’soucier J’perds tout l’temps mes affaires depuis qu’j’ai Alzheimer Je perds mes souvenirs mais je garde le sourire Même si c’est un peu gênant quand je sors...sans mes vêtements
4.
J’SUIS ÉCOEURÉ DOm LAb SOL https://www.youtube.com/watch?v=mvTq1_E3OTc réf J’suis écœuré, j’sais pas pour vous mais quand j’regarde les news j’ai juste une envie de gerber J’suis écœuré, dur de rester debout quand on sent impuissant face à l’impunité J’suis écœuré d’l’histoire de mon pays Les bateaux négriers qu’ont fait la fortune des nantis Leurs croisades et colonies c’est les même aujourd’hui Pour qui on vous demande gentiment d’aller élire J’suis écœuré des privilèges de nos élus Augmentent leurs intérêts pendant qu’on s’sert la ceinture Leurs parachutes dorés alors qu’on a même pas d’bouées d’secours J’aimerai tous les voir crever pendus haut et cour réf J’suis écœuré d’voir des gens crever de faim Alors qu’chaque jours dans les poubelles y a d’quoi remplir un magasin Et cette hypocrisie de voir qu’à notre époque On soit toujours capable d’aller chier dans l’eau potable J’suis écœuré d’la mentalité du pays Plus de raciste que d’humaniste privilégie les égoïstes Et ces putains d’chiens d’garde collabos d’journalistes La plupart à la bonne du capitalisme réf J’suis écœuré de voir mes sœurs pleurées à cause d’homme qui n’en sont pas, qui bafouent leurs dignitées qui cognent pour discuter comme ces putains footeux pour un sport coûteux lèvent le bras d’la médiocrité j’suis écœuré qui est encore des guerres de religions musulmans juifs ou cathos, chez vous c’est quoi qui tournent pas rond relisez vos bouquins c’est la même histoire à la con vous êtes manipulés encore une histoires de pognons réf J’suis écœuré des paysans pollueurs respectent même plus la terre Voient pas plus loin qu’leurs porte-monnaies Et c’est pareil pour les pêcheurs les chaluts en train d’labourer Et ils s’étonnent après qui a plus d’poissons dans leurs filets J’suis écœuré qu’on dise migrant alors qu’il s’agit de réfugiées Ils sont pris pour des délinquants alors qu’ils veulent juste pas crever Car quand on a vécu l’enfer on est près à traverser l’désert Regarde nous pendant la guerre si on s’est pas tourner vers l’Angleterre réf J’suis écœuré, j’sais pas pour vous mais quand j’regarde les news j’ai juste une envie de gerber J’suis écœuré, dur de rester debout quand on s’sent impuissant fasse à l’impunité J’suis écœuré mais je m’en fous y’a rien au monde qui m’empêchera rester debout Car aujourd’hui comme pour demain à ma vie libertaire je ne lâcherai rien !! bis parole et musique : Fred Do
5.
On m'a dit 03:32
ON M’A DIT (https://www.youtube.com/watch?v=eQ1KzZ6H2y4) On m’a dit Faut qu’tu choisisses un vrai métier et que tu signes un CDI On m’a dit Achète une voiture une maison, et prend le tout à crédit On m’a dit Il faut que tu te marie, et que tu nous fasses un p’tit On m’a dit t’as d’la chance d’être né ici car c’est une démocratie Réf Et moi j’ai failli croire à ces conneries je me souviens c’était un lundi depuis j’ai supprimé l’lundi je fais c’que je veux d’ma vie On m’a dit Viens boire un p’tit coup à la maison, touche pas la drogue c’est interdit On m’a dit Il faut aller voter c’est grâce à ça qu’ça va changer On m’a dit Il faut regarder la télé si tu veux rester informé On m’a dit Il faut prier Jesus Christ, si tu veux rester au paradis Réf Et moi j’ai failli croire à ces conneries je me souviens c’était un lundi depuis j’ai supprimé l’lundi je fais c’que je veux d’ma vie On m’a dit Faut qu’tu choisisses un vrai métier et que tu signes un CDI On m’a dit Achète une voiture une maison, et prend le tout à crédit On m’a dit Il faut que tu te marie, et que tu nous fasses un p’tit On m’a dit t’as d’la chance d’être né ici car c’est une démocratie Réf Et moi j’ai failli croire à ces conneries je me souviens c’était un lundi depuis j’ai supprimé l’lundi je fais c’que je veux d’ma vie parole et musique : FredDo PasNet
6.
ESPECE D ENFOIRE Dès ta plus tendre enfance t’étais un baroudeur C’était pas d’la délinquance juste envie d’voir ailleurs Faut dire que chez tes vieux tu pouvais pas t’épanouir C’est clair mon pote que t’as bien fait de t’enfuir Mais bon toi t’as pas fait les choses à moitié On peut même dire que t’as sauté les deux pieds joints Quand y s’agissait de s’déchirer la tête T’étais excité tu t’en faisait une fixette Ref Oh c’est sûr faut bien l’avouer T’étais pas un tendre avec ta santé Vu c’que tu t’mettais, depuis quelques temps Mon pote tu pouvais pas tenir très longtemps T’as voulu tout tester et j’étais pas l’dernier T’étais sans répits tout les jours à t’la collé Toujours une excuse pour décompresser Toujours les mots pour te rassurer C’qu’il faut pas oublier de dire C’est ton coté vinasse Dès 7 h du mat tu taquinais le blancass Le litron d’rouge à table sans parler d’l’apéro Ton côté raisonnable c’est quand tu t’passais d’digo Ref On en aura vécu des moments de dingo Des voyages imprévus, les amis les bistrots Et toutes ces belles nanas que j’sais plus leurs prénoms Bordel on étais bien à traîner nos camions Mais tu savais bien qu’le corps a ses limites Ça pouvait finir que sur une fin tragique Du coup au final à jouer les cinglés Maintenant j’suis seul espèce d’enfoiré Ref (2fois) parole et musique : Fred Do
7.
MA GRAND-MERE Quand je suis arrivé au café, tout les gens m’ont dévisagé Ils m’ont tous, oui tous, tous demandés, pourquoi j’avais cette mine d’enterrée J’ai fais comme si de rien n’étais, que j’avais juste enterré ma grand-mère Que ça s’était très bien passé que c’était juste une petite mise en bière Puis j’ai senti comme un malaise, alors un pote m’a demandé Pourquoi j’avais la chemise déchirée, pourquoi j’avais la gueule toute griffée J’ai enterré ma grand-mère mais elle voulait pas (3 fois) Bah quoi quand même c’est pas ma faute, si c’est fini le bon vieux temps Où l’on pouvait encore les laisser dans un bois ou bien dans une forêt Puis faut dire aussi ben que maintenant, avec tout ces putains d’médicaments Ils peuvent vivre au moins jusqu’à cent ans, aujourd’hui y a plus de vieux que d’enfants C’est pourquoi... J’ai enterré ma grand-mère mais elle voulait pas (3 fois) parole et musique : Fred Do
8.
Carbu d'15 02:22
CARBU D’15 La culasse qui s’encrasse, le retro pour les vélos Je réveille la populasse avec mon pot Bidalo C’est la classe à Dallas, vieux rocker défraîchie Si je parais à la masse, c’est qu’y a qu’le chrome qui réfléchi On roule pas comme des barges, malgré un penchant pour les virages On aime quand même l’adrénaline, allez montre-nous ta ribine On fait pas les mariolles, not’défonce c’est la déconne Un bon repas et d’la picole, après on t’fais du rock’n’roll réfrain Car pour cracher nos sons, direction dans ton bar Pas b’soin d’prendre le camion, on est mieux sur nos 103 Car il y a longtemps qu’on a sauté du train De cet univers un peu dingue Maintenant on roule à toute berzingue Pot ninja et carbu d’15 C’est r’parti pour la virée, remonte sur ta Motobécane Plus rien peux nous arriver, à part si on tombe en panne Si l’mécano a décuvé, 2 ou 3 coup d’clé c’est réparé Comme une lutte acharnée, un pèlerinage une odyssée On s’fait doubler tout l’temps, pas grave on a tout not’temps On admire le paysage, une petite pause sur la plage Et on aime bien guetter, des fois qu’on trouverai un troquet Une pause s’impose c’est obligé, histoire d’y baiser une bolée Et peut-être qu’on y crachera nos sons, alors on restera dans ton bar Et après y avoir mis l’boxon, on repartira sur nos 103 Car il y a longtemps qu’on a sauté du train De cet univers un peu dingue Maintenant on roule à toute berzingue Pot ninja et carbu d’15 Car pour cracher nos sons, direction dans ton bar Pas b’soin d’prendre le camion, on est mieux sur nos 103 Il y a longtemps qu’on a sauté du train De cet univers un dingue Maintenant on roule à toute berzingue Pot ninja et carbu d’15
9.
LE FOU DU VILLAGE On trouvait ta voiture rigolote, quand tu passais d’vant la cour de l’école t’as tenu et ta coupe louffoque, tu étais devenu notre idole tu ne t’es jamais caché, quand dans la rue tu venais défiler en laissant croire que tu te prostituer, tu ne faisait que t’amuser t’étais un homme, très surprenant, avec ta jupe, ton sac à main, t’es collant certains te trouvaient dégoûtant, et pour d’autres tu étais touchant tu exhibais ton insouciance, qui faisait rager les gros cons mais toi t’en avais pas conscience, quand tu v’nais demander conseil pour des tampons ref. On t’a juger fou, on t’a dit cinglé on t’a jugé voyou, on t’a dit givré on t’a jugé drogué, on te croyais ivre mais tu n’étais simplement que quelqu’un de libre On t’a juger fou, on t’a dit cinglé on t’a jugé voyou, on t’a dit givré on t’a jugé drogué, on te croyais ivre mais tu n’étais tout simplement que quelqu’un de libre tu faisait rire les enfants, et ça je crois bien que tu aimais peu importe si tu t’faisais juger, il en fallait bien pour te vexer les gens disaient, « c’est le fou du village » toi-même tu savais qu’ça les rassuraient de se cacher de leurs vies en cage, ils étaient juste jaloux de ta liberté ref. T’étais si libre que ça devait arriver, en laissant une lettre sur la table de chevet je suis heureux et je m’en vais ainsi, je pars vers d’autres cieux et merci la vie (x4) ref. (x3) parole et musique : Fred Do
10.
CUBID-20 03:16
CUBID-20 T'avais des projets, tu devais rentrer T'étais organisé, prêt à te casser T'avais la bougeotte, démarrer la roulotte Quand soudain, arrive le CUBID-20 Célicataire endurcis, vive la liberté le king des free-party, la fête toute l'année Tu te crois à l'abris, d'avoir un gamin jusqu'à ce que tu t'oublis, à cause du CUBID-20 Refrain : C'est le CUBID-20, maladie des confinés C'est le CUBID-20, isolé entre amis C'est le CUBID-20, la fête entre les potes T'oublie la capote, et puis voilà en cloque Le roi des chantiers, le premier levé t'es trop endetté, pour penser à chômer Les enfants, le loyer, toujours la l'matin sauf peut être à cause du CUBID-20. Refrain C'est le CUBID-20, maladie des confifis C'est le CUBID-20, isolé entre amis C'est le CUBID-20, rester confinés c'est un coup à rester, addict à rien branler Attention aux symptomes, le tournis, même si ça donne, l'euphorie Il faut COVID-19, bouteille de vin Si tu veux du sang neuf, pour le CUBID-20 Refrain C'est le CUBID-20, maladie des tout confits C'est le CUBID-20, isolé entre amis C'est le CUBID-20, la pandémie qui te file des amis, et la cirhose aussi Mais si tu fais le mariole, que tu veux voyager avec ta bagnole, comme si de rien n'étais Allez vas-y fais pas, ton pangolin Si tu veux en finir, avec le CUBID-20 Covid mes couilles, en restant à la maison tu peux te les carrer, tes contraventions Mais la pas besoin, d'attestation pour sortir, avec son CUBID-20 Refrain C'est le CUBID-20, maladie des con finis C'est le CUBID-20, isolé entre amis C'est le CUBID-20, pas besoin de déplacement Nous on met pas des gants, pour y mettre tout dedans. BIS parole et musique : FredDo PasNet
11.
BIÈRE FRAÎCHE (cover cold beer jesse stewart J’ai beau essayer de fuir mes émotions, j’me torture l’esprit seul face à l’océan J’ai claqué tous mes ronds, dans une bouteille de whiskys Que j’ai bu et cassé, assis sur mon passé J’ai essayé de comprendre un peu qui je suis, je sais pas où je vais, je n’ai pas où aller Mais j’suis sûr d’une chose, une chose qui est vrai, partout où je suis, de toi j’peux pas m’passer On ne peux nous deux se laisser aller, on est bien trop proche pour se séparer J’garde toujours la tête haute, quand t’es à mes côtés Et quand tu touches mes lèvres on est comme deux chiens collés réfrain Oh bière, bière fraîche Ne t’fais pas d’soucis, j’serai toujours ici Je ne peux vivre sans toi, peu importe mon état Oh bière, bière fraîche Ne t’fais pas d’soucis, j’serai toujours ici Je ne peux vivre sans toi, peu importe mon état Je t’ai récupéré je t’ai ramené Chez moi sur l’canap j’veux plus être dérangé Car j’aime ton goût, j’aime ton odeur Qui aurait cru que j’aurai trouvé l’âme sœur Enfer, j’crois qu’on est fait l’un pour l’autre Comme un breton est fait pour l’apéro Oh dur, d’exprimer ma joie Comme retrouver du solide…après une tourista Oh dur, de t’détourner d’mon regard Dire qu’pendant le foyer, qu’on a été séparé Mais maintenant on est a nouveau ensemble, avec une vengeance Ça doit sûrement venir de ma putain d’descendance Du coup j’me sens bien, à tes cotés Tanpis si les gens disent, Freddo est obsédé Peut-être je le suis, peut-être c’est mon droit Une chose qui est sûr, j’ai eu l’coup de foudre pour toi Oh bière, bière fraîche Ne t’fais pas d’soucis, j’serai toujours ici Je ne peux vivre sans toi, peu importe mon état Oh bière, bière fraîche Ne t’fais pas d’soucis, j’serai toujours ici Je ne peux vivre sans toi, peu importe mon état peu importe ce que je vaut quand je suis seul assis dans le caniveau quand l'amour s'est envolé, quand mes potes sont fachés il me reste toujours elle sur qui je peux compter elle, qui me connait vraiment, assise dans la main que lui tend fait parti de la famille, un menbre de l'équipe elle me prend sous son aile, dès que je prend la fuite que tu sois blonde, brune ou bien rousse, peu importe ta frimousse tu sais me troubler, tu me fais bafouiller, t'arrives à m'en faire oublier mes fin d'soirée ref bis parole et musique : FredDo PasNet
12.
LA FISTINIERE Le lundi à la Fistinière, on te lubrifie l’derrière Le mardi c’est permis, c’est parti on t’introduit réf Bienvenue à la Fistinière on te met tout dans l’derrière Du lundi au dimanche on y va jusqu’à la manche Le mercredi on lâche son spleen, on va tous à la chapelle fistine Le jeudi attention, ça finit au parc d’attrape-fion Bienvenue à la Fistinière on te met tout dans l’derrière Du lundi au dimanche on y va jusqu’à la manche Le vendredi travaille à la chaîne, on te met 3 mètres de traînes Le samedi là t’as mal, on te met un animal Bienvenue à la Fistinière on te met tout dans l’derrière Du lundi au dimanche on y va jusqu’à la manche Oui Bienvenue à la Fistinière on te met tout dans l’derrière Du lundi au dimanche on y va jusqu’à la manche Et dimanche c’est détente, ça fini par une petite pétanque Bienvenue à la fistinière on te met tout dans l’derrière Du lundi au dimanche on y va jusqu’à la manche Oui bienvenue à la Fistinière on te met...tout dedans Du lundi au dimanche on y va jusqu’à la manche parole et musique : Fred Do
13.
Vendangeur 03:01
VENDANGEUR Tous les matins, coupés du raisin Sans oublié, le café calva Tous les matins, coupés du raisin Sans oublié d’passé chez l’pharmacien À peine réveillé, déjà sollicité P’tit dèj alcoolisée, les vêtements encore trempés Et pour pas changer, l’sac de bouffe pas préparé Et l’autre qui cri, dans 5 mn faut y aller Prêt pour le turbin, sécateur dans les mains On fait moins les malins, d’vant la rosée du matin Mais quand arrive la pause, direction les camions On rempli tous les fioles et c’est reparti tous à fond refrain Vendangeur en action, tous les ans la même mission On retrouve les cueilleurs, les buveurs la douleur Vendangeur en action, tous les ans la même mission On retrouve les cueilleurs, les buveurs la douleur Repas du midi, moment bien savouré Tout le monde sort la bibine, le rouge et le pâté Les verres sont pas lavés, l’sandwich a goût de terre Fait pas ta mijaurée, sinon retourne chez ta mère chansons à volonté, blagues revisitées quelques grappes lancées, quelques doigts coupés vendangeur lâche rien, la tête dans le raisin on y met tout dedans, on est des grands malades refrain Moment tant attendu, la fin de la journée Tout le monde en a ras l’cul, c’est l’heure de s’relâcher Allez tous dans les camions, direction l’apéro Et le patron qui dit, c’est qui qui lave les seaux ? Moral de cette épreuve, c’est qu’on peut très bien s’marrer tant qu’on nous abreuve et qu’on nous laisse chanter allez patron paye ton coup vas-y fais pas ta pute si tu veux qu’on tienne le coup, lâche nous la grappe cinq minutes refrain bis
14.
J’AURAIS VOULU J’aurais voulu être athéiste, affirmer qu’aucun dieu n’éxiste Mais moi de croire ou ne pas croire je verrai bien quand je s’rai mort J’aurais voulu être nihiliste, foncer dans la gueule des flics Plus rien à perdre même la vie, kidnapper un homme politique J’aurais voulu être P4, non sérieusement j’en été capte De faire l’taré d’vant l’psy d’l’armée, j’suis joueur c’est sûr je l’aurai fait J’aurais voulu être optimiste, ne pas écrire de chansons tristes Alors si je veux positiver j’me sens obligé d’faire marrer réf C’est pas avec des j’aurais voulu que tu arriveras à ton but N’aie pas peur de l’inconnu et sors toi les doigts de ton cul J’aurais voulu être rentier, hériter plus rien branler Mais mes parents sont fauchés, je n’suis qu’un fils d’ouvrier J’aurais voulu être président, non j’déconne c’est trop badant Être responsable de moi-même, ça me prends déjà tout mon temps J’aurais voulu être comédien, acteur dans un film...porno C’est pas que j’y ai jamais, enfin bon changeons d’sujet J’aurais voulu être un artiste, circassien ou bien pianiste Et j’veux bien être intermittent, sauf si faut courir après l’argent C’est pas avec des j’aurais voulu que tu arriveras à ton but N’aie pas peur de l’inconnu et sors toi les doigts de ton cul J’aurais voulu être...j’sais pas moi, policier juge ou avocat Un bon métier de crapule, l’problème c’est qu’j’ai vite fait des scrupules J’aurais voulu être militaire, pour pouvoir tuer d’autres militaires L’problème avec l’armée d’maintenant, c’est qu’on tue surtout des enfants J’aurais voulu voyager, découvrir le monde entier Si l’monde entier n’est pas fermé, par des visas par des douaniers J’aurais voulu tant t’aider, toi l’étranger en train d’errer Cherchant à quitter par la mer, un enfer pour un autre enfer C’est pas avec des j’aurais voulu que tu arriveras à ton but N’aie pas peur de l’inconnu et sors toi les doigts de ton cul C’est pas avec des j’aurais voulu que tu arriveras à ton but Eteins donc un peu ta télé et viens avec nous...partager. parole et musique : FredDo
15.
Militaire 02:33
MILITAIRE ref 1 Non ne me dis pas que c’est pas normal Qu’un militaire meurt au combat, non je n’ le plaindrai pas, non je n’ le plaindrai pas Tu sais c’est fini le temps des appelés Maintenant on peut prouver qu’ils ont signés Et on va quand même pas s’leurrer C’est souvent pour l’argent qu’ils ont fait ref 2 Alors Non ! ne me dis pas que c’est pas normal Qu’un militaire meurt au combat, non je n’ le plaindrai pas, non je n’ le plaindrai pas ref 2 Tu dis qu’ils sont là pour protéger leur pays Mais leur seul mot d’ordre c’est obéir Ce n’sont que des pions d’échiquiers Des chiens d’attaques qu’ont a armés ref 2 Tu penses qu’ils sont la fierté de la nation Qu’eux au moins c’est pas une bande de fainéant Mais ceux qu’on jeté la bombe nucléaire Tu vas quand même pas m’dire c’est les chômeurs ref 2 Ok disons qu’ils sont un bon mode de dissuasion Pour nous éviter d’autres invasions Mais faudrait pas oublier mon gars La France est un fabricant d’arme réf 3 Non ne me dis pas que c’est pas normal Qu’un militaire meurt au combat, non je n’ le plaindrai pas, non je n’ le plaindrai pas C’est les risque de son contrat Des fois ça s’passe comme ça Quand t’as la gâchette au bout des doigts Des fois la balle elle est pour toi ! parole et musique : FredDo PasNet

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Capharnaüm
album 15 titres

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released August 8, 2020

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Freddo Blaster Rennes, France

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